Il est indiqué dans le sujet qu’il s’agit bien de « white hat » et non d’automatisation à tout va.
Twitter est un grand espace vide, où tout le monde s’en fiche de vous et vos tweets, surtout quand on commence de zéro. (Parenthèse) D’où une croissance zéro de Twitter depuis quelques temps. Fort heureusement, tous les journalistes / gens un qui ont un public, gros ou pas, sont dessus, ce qui permet à Twitter de ne pas sombrer. C’est un outil arrivé à maturité. (fin de Parenthèse).
Décoller avec Twitter sans blackhat demande une énergie phénoménale. Il faut partager du contenu frais, très agréable à lire, avec une forte valeur ajoutée pour l’audience ciblée, au bon moment, en distillant l’information (ne pas tout twitter d’un coup). Ca va quelques jours mais c’est franchement un effort assez insoutenable sur le long terme.
Je dirais qu’un moyen assez fort d’augmenter l’engagement à court terme avec un effort moindre est d’engager des conversation avec des gens assez connus (mais pas trop). Ca marche encore mieux si c’est une réponse à un sujet « trendy ».
Là encore ça demande un certain investissement quotidien.
Tôt ou tard il faut automatiser ce qui marche.
L’automatisation n’est pas explicitement interdite par Twitter, sinon ils n’auraient pas ouvert leur API au public. c’est bien l’utilisation massive et à l’aveugle de l’automatisation qui est interdite.
Donc pour partir de zéro et sans tricher avec twitter (mais ce n’est pas spécifique à Twitter) :
- trouver une recette qui marche manuellement
- l’automatiser en respectant coûte que coûte les limitations
Le plus gros point faible des outils d’automatisation est de faire croire que parce que vous automatisez vous êtes meilleurs que les autres… ça ne marche pas comme ça. Si vous automatisez une recette que vous n’avez pas testée manuellement avant, ça se retourne contre vous.
Voilà donc reprendre un compte de zéro pour tester ce qui marche en whitehat, c’est une excellente idée.