Je vais avoir besoin de sortir les adresses mails d’environ 50k profils après avoir affiné mes filtres LinkedIn Sales Navigator.
J’ai déjà SN, mais je me pose des questions sur le reste de la stack :
J’ai testé Kaspr mais on ne peut lancer que 3 automations / mois / user soit 1 500 mails récoltés maximum / mois ce qui est bien trop faible pour mon besoin.
Je crois qu’Apollo (un des forfaits à 49 ou 79 €) peut répondre au besoin même si je trouve tout et son contraire. Je suis tombé sur une vidéo youtube qui montre comment contourner la limite de volume imposée par Apollo.
Une solution comme Evaboot me paraît trop complète (et donc trop chère) pour mon besoin > je n’ai besoin que des noms prénoms mail et company name des prospects en question.
L’idée est de récolter tout ça en csv (pas de CRM) et de balancer sur des profils Emelia une fois que les adresses mails seront warmées.
Merci d’avance pour vos lumières et au plaisir d’échanger,
Hello
Oui tu peux contourner apollo via des outils de scraping classique type Octoparse ou instant data scraper
Tu importes ton fichier csv de SN ou tu fais ta recherche et tu peux scraper les résultats, par contre je crois que apollo bloque à 10k max de résultats (à voir)
Mais là, 50K amigo, je ferai :
un scrape de SN des 50K via Texau ou même scalelist → enrichissement des noms de domaines via Phantom buster ou Texau → Enrichissement des mails via enrow ou bettercontact
Apollo on peut plus contourner car pour pouvoir voir l’email tu dois l’ajouter à une liste, et avec l’abonnement à 80€ tu peux ajouter 10k personnes dans des listes par mois. Mais une fois que tu as ajouté à une liste, tu peux scrapper avec instant data scrapper.
Pour l’enrichissement sales nav, j’ai créé mon propre logiciel d’enrichissement d’email à partir de sales nav. On a à peu près les même taux d’email trouvé que better contact, et c’est moins cher et t’a rien à faire. Pour l’instant on a pas créé Le front end du site donc on fait ça en presta. Hésites pas si tu veux tester !
Enrow et Icypeas sont vraiment de bonnes solutions pour les avoir testé, je n’ai pas d’accointance avec la team d’icypeas et franchement gg à eux. Thomas à fait très fort quant à lui, il a une vision et une stratégie intéressante pour le monde de l’email finder il y’a énormément de valeur dans cet homme.
D’ailleurs c’est sympa qu’elles soient mise en avant, la on parle de jeune de moins de 30 ans qui essayent de créer avec des moyens financier et humain limités.
Ce que je note par rapport à dropcontact : plus de sociétés trouvées et les 2 ont un très bon support et rapide.
J’ai été utilisateur de dropcontact, mais cela fait du bien de voir des solutions plus performantes avec des petites choses en plus. En plus ça soutient les gars très actifs dans le forum.
Et le test ultime, si je devais vendre une solution d’email finder à ma mère ça serait soit Enrow ou Icypeas en fonction de son besoin.
Les tarifs ne sont absolument pas similaires par contre. D’un côté ils facturent à la recherche et de l’autre nous facturons à l’email vérifié. Une nuance qui change tout.
Question un peu naïve, mais comment se fait-il que plusieurs solutions de « catch all verifiers » voient le jour en ce moment ?
Est-ce une faille nouvellement identifiée et qui n’est pas encore connue du grand public ?
Les « catch all » sont un problème bien identifié par tout le marché.
Ça me semble fou que les emails finders/emails verifiers historiques ne soient pas capables de proposer cette feature.
Y’a quelques tentatives comme zero bounce ou neverbounce, mais ils donnent juste un score de confiance. Ils ne promettent pas d’identifier à 100% la validité d’un catch all.
En 2020, Covid : beaucoup d’entreprises ont découvert la vente à distance. Puis il y a eu un boom d’investissement en 2021-2022 sur la Salestech (suite à l’entrée en bourse de Zoominfo, qui a été le plus gros IPO de cette année-là aux US), accompagné par un boom d’adoption de ces nouvelles solutions : scraping, automatisation, enrichissement, outreach, etc.
De 2015 à 2020, le marché de l’enrichissement était relativement peu concurrentiel. Donc les solutions nées à ce moment-là n’avaient pas besoin de pousser loin leurs efforts sur le produit. Depuis 2021, la pression concurrentielle pousse les solutions à se différencier, notamment en améliorant le taux de découverte, ce qui passe par une meilleure prise en compte des catchalls, mais pas que. Il y a aussi de grosses avancées sur le bridge « company to domain » par exemple.
Technologie plus accessible (e.g l’open source sur github)
Conscience croissante : les marketeurs sont de plus en plus conscients des implications d’avoir des listes d’emails de mauvaise qualité (coûts inutiles, résultats faussés…)
